Dans cet épisode, Augustus Hill fait des comparaisons avec de grands personnages qui ont marqué l'histoire, précisant ensuite "qu'aucun pensionnaire de Oz n'en fera jamais partie." Rappellant que la condition de prisonnier de chaque personnage reste assez anecdotique, et qu'ils agissent bien souvent dans un vaste, ensemble, individuellement, mais sans connaître une once de reconnaissance extérieure. Il en fera d'ailleurs l'expérience en faisant confiance à Saïd, qui lui, se considère comme, non pas un simple prisonnier, mais comme une vraie personnalité médiatique. D'ailleurs, le reste de l'épisode gardera cet idée, en montrant une partie de la vie de chaques prisonniers. Un peu d'O'Reilly avant son opération, un peu de Kenny Wangler qui doit renoncer d'étudier à cause d'Adebisi, un peu d'Alvarez qui trouve le moyen de se venger des pressions que le directeur de la prison avait exercé sur lui, et bien entendu, le conflit entre Beecher et Schillinger, évoluant d'épisode en épisode. Même soeur Peter Marie aura un rôle à jouer, dans une situation dont on avait pas l'habitude de la voir finalement, elle qui reste si souvent dans son bureau. Mais, ce qui illustre bien cet esprit de petites histoires individuelles est le passage de la nuit, où il ne se passe pas grand chose, mais en quelques minutes, tout est là.